Fragonard, l'invention du bonheur
Auteurs   Chauveau, Sophie (Auteur)
Edition  Télémaque : Paris , 2011
Collation   402 p.
Format   24 cm.
ISBN   978-2-7533-0142-9
Prix   22,00
Langue d'édition   français
Sujets   PeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinturePeinture -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- thème -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roman -- roma
1732-1806 Fragonard, Jean-Honoré -- peintre
Catégories   Roman
Thèmes   Roman historique
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Gron L-015182 R CHAAdulte / Disponible
Résumé : Descriptions du produit Présentation de l'éditeur Paris 1761, dans le rougeoiement crépusculaire de la monarchie, une couleur nouvelle apparaît, un "jaune vie" éclatant, qui va révolutionner d'un sourire l'art pictural. Frangonard invente le bonheur... et Sophie Chauveau, avec le talent si particulier qui est le sien, brosse avec un formidable luxe de détails, la fresque foisonnante et méconnue de ses soixante-quatorze années d'existence. Du soleil de Grasse aux ruelles lugubres de la capitale, des ateliers de Chardin ou Boucher à l'école de Rome, d'un Louvre totalement inconnu, véritable cité des artistes, aux intrigues assassines des salons du Paris pré-révolutionnaire, des horreurs de la Terreur aux diktats imprévisibles de l'Empire, Jean-Honoré Fragonard traverse miraculeusement un demi-siècle de chaos. Eternel amoureux d'une famille recomposée très particulière et de la ribambelles d'animaux qui l'entoure, Fragonard est le jouet des caprices des puissants mais ne se soumet qu'à son seul désir : peindre. Précurseur des impressionnistes, premier conservateur du futur musée du Louvre par la grâce de Napoléon avec le soutien actif de David, il pose un regard nouveau sur l'amour.-, ivre de couleur et de lumière. "Frago" comme il signe lui-même ses oeuvres, aura toujours choisi la voie faussement futile de la légèreté. Certains historiographes de l'art ne lui ont jamais pardonné. Sophie Chauveau balaie leurs doutes avec jubilation et une profonde tendresse.